Grace à Gil, journée canoë sur la rivière Tontouta. Les volontaires pour cette descente : Martial, Florian, Julie, Marie-Hélène, Gil et nous trois !

Et c’est parti, avec quelques petits rapides et des pauses pour se baigner tellement il faisait chaud.

Pause à midi dans un endroit splendide. Normalement il faut environ 1H30 pour rejoindre le lieu de pique-nique, nous avons mis 2H15 !! Quant on est trop bon… On a même réussi à se renverser.

Au moment de repartir, trop fatigué. Ce qu’il faut dire, c’est que le niveau de la rivière est au plus bas en ce moment car il n’a pas beaucoup plu et qu’il faut souvent tirer le canoë pour avancer. Les seuls courageux à repartir sont Martial et Julie.

Nous on préfère glander et profiter de la baignade.

Nous voici partis pour quelques jours en amoureux dédiés au sport et à la randonnée… enfin c’est ce que nous pensions avant de partir.  Premier jour : une marche au parc des grandes fougères pour se mettre en jambe. Mais c’est ballot, c’est fermé le mardi ! Et puis on commence à recevoir quelques gouttes. C’est pas grave, on se rattrapera le lendemain, avec la randonnée du plateau de Dogny.

En attendant un petit tour au col d’Amieu pour voir une cascade,

Mais il commence vraiment à pleuvoir. C’est beau quand même Sarraméa dans la brume.

Heureusement on avait prévu le coup

Le lendemain, frais et dispos, prêts à partir pour une randonnée de 16 km… Il pleut encore ! Bon finalement on monte vers le nord pour faire la randonnée qui permet d’admirer le célèbre cœur de Voh.

Arrivée sur place on tourne, on vire mais ou est le départ ? finalement on trouve une pancarte qui indique que suite à des travaux le départ de la randonnée se trouve un peu plus loin. Mais c’était pas vraiment bien indiqué et dans le doute on a préféré continuer notre chemin jusqu’à Poum

La baie de Nehoué est toujours aussi belle, jolis reflets du coucher de soleil sur la mer.

Le lendemain, nous avons RDV avec Henri, président de l’association du vieux village de Tiebaghi. Suivons le guide

C’est un véritable conteur, qui sait faire revivre la vie quotidienne de ce village construit autour d’une mine d’exploitation du Chrome.

Il nous entraine dans l’histoire de la vallée, nous raconte la vie des pionniers et de certains aventuriers, les débuts de l’exploitation du Chrome à la main, les premières livraisons du minerai à New-York en voilier en traversant le Pacifique et le cap Horn, l’arrivée des américains et de la vie « festive » à l’américaine, le développement du village, les différentes populations venues travailler dans la mine et les inégalités de statuts, les premières grèves et puis la fin du filon de Chrome et l’abandon du village. Et maintenant les actions de l’association pour garder la mémoire de ce vieux village.

Un bon point pour celui qui trouve ce que c’est ??

Le lendemain, il y a enfin un ciel bleu après du gris et de la pluie depuis 2 jours. La mer est comme est un lac, pas un souffle de vent, ce sera donc une petite excursion en canoë.

  Un petit arrêt sur une plage pour se balader et se baigner. L’impression d’être seuls au bout du monde, il n’y a que nous.

Au retour un plouf dans la piscine

  Le temps tourne très vite en Calédonie et notre amie la pluie est revenue de plus belle l’après-midi ! M…. !

On ne se décourage pas et si on allait grimper le mont Yago ? Apres environ 15 km de piste et des explications telles que « au grand banian, suivre la piste qui est en meilleure état… » ou mieux « gagner l’extrémité sud-est de la plage » sans boussole, vous imaginez bien que nous n’avons jamais trouvé le début du sentier. Nous avons continué jusqu’à la pointe Babouillat, d’où nous avons pu admirer le mont Yago (enfin il me semble mais rien n’est moins sure…)

Retour sur Nouméa avec un arrêt pique-nique dans la plaine de Gaïacs. La vue est magnifique.

Bon en résumé nous avons bien (et beaucoup voir trop) mangé et pas vraiment fait de randonnée contrairement à notre projet de départ ! … Une prochaine fois

Malgré le sale temps, on a gardé le sourire et on a beaucoup apprécié cette escapade en amoureux.

La famille GRARD quitte le territoire la semaine prochaine. Nous voilà réunis pour un dernier week-end tous ensemble : 12 enfants de 7 mois à 14 ans et 10 adultes (je ne donnerais pas les âges pour ne froisser aucune susceptibilité). La destination première était un camping sur un îlot, mais les aléas du temps ont fait que nous nous sommes retrouvés à Poé prés de Bourail dans… des containers aménagés !

Et même si le ciel est resté gris tout le week-end, notre bonne humeur n’a pas été entamée pour autant : Au lieu de la plage et des baignades, ce sera balades et raclette !

Direction Guaro Deva pour escalader une colline sur le sentier de « Oua Koue ».

Une belle vue sur le lagon malgrè le manque d’éclat des couleurs de la mer.

  Axel et Gaétan sont les premiers arrivés (enfin après Anne qui est déjà au sommet de l’autre colline, en effet pourquoi marcher quand on peut courir ?)

  Oscar est ravi de faire une randonnée…

  Une grande pente, c’est l’occasion d’organiser une course pour les enfants

Et aux parents de faire de même pendant qu’Elen et moi assurons le reportage photo.

La vue d’ici est splendide. Il faudra revenir pour faire la randonnée en entier.

Une chouette photo de groupe au sommet

Une partie de la troupe reprend le chemin du retour pendant que les filles poursuivent un petit peu.

Florent, Sandrine et le petit Anaël nous ont rejoints pour un déjeuner copieux et arrosé samedi midi.

Dans l’après midi, encore une balade pour les plus vaillants pendant que d’autres font une grosse sieste.

Nous longeons la magnifique plage de Poè.

C’est l’hiver ici, il fait 20°.

Des pommes lianes, plus connues sous le nom de fruits de la passion. C’est délicieux.

Le lendemain, le soleil n’est toujours pas au rendez-vous et notre sortie sur l’île verte est annulée. Qu’à cela ne tienne, nous ferons la randonnée des 3 baies.

Le bonhomme de Bourail vu du dessus

Vue du belvédère où l’on devine la baie des tortues avec les pins colonnaires courbés par le vent.

Et même un lutin et son troll avec un sourire niais… qu’ils sont beaux !

Sur la plage de la baie des tortues

Un peu plus loin la baie des amoureux.

Bon week-end entre amis avec de la mauvaise foi pour certains et un énorme cul pour d'autres au tarot, des calories avec la raclette et les gâteaux, des loups-garous et des villageois enfermés dans un container qui sent le poney pour les enfants, des balades vivifiantes, pas de pleurs d’Anaël mais quelques ronflements et surtout avec beaucoup de rires !

Stéphane étant un peu réfractaire pour dormir sous une tente, nous profitons de son séjour sur Paris avec Oscar et Marius pour suivre des amis en camping sur Poé prés de Bourrail.

3 adultes et 5 enfants, nous partons bien chargés !

Un arrêt à La Foa pour pique-niquer sous la pluie mais rien ne nous décourage, nous sommes bien décidés à dormir à Poé sous la tente ce soir !

Les filles essaient de remplir leurs verres avec de l'eau de pluie :

Les cieux sont cléments avec moi pour le premier camping de Gaétan et pas de pluie pour le reste du week-end.

Première étape : Montage de la tente. Les années d’expérience de scoutisme sont là et même si ca fait plusieurs années que je n’ai pas monté de tente, ca revient vite. En plus Gaétan est là pour m’aider !

Et voilà notre palace

A coté il faut un peu plus de temps, il faut dire qu’elle est très grande !

De l’autre coté séance gonflage de matelas. Et oui ca aime partir en camping mais avec tout le confort de la maison ! Alors que Gaétan et moi nous dormons sur des tapis de sol, rembourrés il est vrai mais quand même.

Et puis une fois notre installation terminée, direction la plage pour aller se rafraichir et aller à la rencontre des bébés tortues. Nous n’avons pas vu de tortues (apparemment nous arrivons un peu tard dans la saison) mais par contre nous avons pu admirer un superbe coucher de soleil.

Retour au camping : feu de camp, saucisses et « délicieuse » salade de riz et brochette de chamallows en dessert. Autant dire que Gaétan était ravi.

Le lendemain, petite pause rafraichissante après avoir rangé notre campement.

J’ai essayé d’initier la famille Bore aux joies de la randonnée. Nous avons marché 20 minutes, c’est un début…

Magnifique baies des tortues avec des pins colonnaires sculptés par le vent.

 Le bonhomme de Bourrail

Et on s’amuse dans les vagues car il y a toujours beaucoup de courants sur cette plage du fait de la proximité avec la passe Popinée.

La cote à cet endroit est formée de gros blocs rocheux noirs de quartz dur sculptés par la mer propice à l’escalade et aux jeux dans les petites piscines naturelles.

Le reste de la journée a continué avec encore des baignades et retour sur Nouméa à la nuit, fatigués mais contents du WE. Merci à la famille Bore de nous avoir amené dans leurs bagages.

  Pour midi nous avions réservé au relais de Poingam. On y retournera c’est sur. On conseille vraiment cette étape dans le nord.

  L’accueil était chaleureux et surtout le repas délicieux avec des plats frais et originaux. Pour Stéphane ce fut un poisson accompagné d’un rougail de coco et de pourpier de mer et pour moi une tartiflette de langouste avec des fruits à pain et une salade de papayes vertes. Pour finir tarte à la banane et mousse au chocolat à la noix de coco fraiche.

Après ce délicieux et copieux repas, Stéphane et Gaétan n’avait qu’une envie s’allonger sur la plage. Mais j’ai réussi à les motiver malgré quelques bougonnements pour aller faire une petite balade. La balade n’était pas si petite (comme je le pensais) puisque nous avons marché prés d’une heure et demie. J’ai eu droit à quelques récriminations sur le parcours. Pourtant la balade en vaut la peine !  

La balade commence par une plantation d’eucalyptus dont le relais de Poingam tire une huile essentielle. Il suffit de froisser une feuille dans sa main pour sentir son parfum.

  Un arrêt en haut de la première colline pour admirer le paysage.

Quelques centaines de mètres plus loin, une rencontre étonnante : Des chevaux à l’état sauvage. Apparemment il y a de nombreux troupeaux qui vivent dans la région complètement libres !

En voilà quelques uns au milieu du chemin et on se demande comment passer.

Mais ils sont craintifs et au fur et à mesure que nous avançons ils nous laissent le passage.

La balade continue en descendant vers un petit lac.

Le chemin par ici est boueux et nous tombons dans un traquenard. Attaque en règle par une sale bande de moustiques ! On se dépêche d’avancer et de rejoindre la crête des alizées.

Belle vue sur les marais salants de Kô.

A l’entrée du marais, l’eau a une teneur en sel de 35 grammes de sel/litre. Elle va parcourir environ 1,8 km pour fournir une saumure à 270 grammes de sel/litre dans les bassins de récolte. Ici, l’évaporation est exclusivement solaire.

Nous suivons la ligne de crête pour rejoindre le relais. La vue est de toutes parts magnifique. Petit tour panoramique à 360°.

Pour se délasser de cette belle balade, une baignade dans la piscine à l’eau de mer et un coup à boire dans le très joli jardin du relais. Tout le monde est revigoré, on peut repartir.

Sur le chemin du retour vers Malabou, on fait un arrêt sur la plage de Nenon. Je souhaite faire une petite balade mais dans la voiture, je ne sens aucun enthousiasme à ma proposition (Gaétan dort à moitié et Steph est fatigué) donc on reviendra une prochaine fois.